Piqué ici...
***
Tu penses à...
Rouge... tu penses à : un niveau de stress beaucoup trop intense!
Musique... tu penses à : des souvenirs à la tonne qui me reviennent pour à peu près n'importe laquelle des chansons
Fraise... tu penses à : à ma mère qui fait une fixation sur tous les trucs aux fraises... pas d'autres variétés que celle-là, qu'on parle de yogourt, de crème glacée, de barres de céréales... j'grignote pas ben ben quand je vais faire un tour!
Film... tu penses à : Ponette, American History X, Hard Candy, L'audition... on pourrait y passer la soirée!
Fiesta... tu penses à : Un beach party mémorable, il y a 7 ans... ou de la sangria!
Livre... tu penses à : la méga bibliothèque que ça va me prendre dans 2 semaines!
Meilleur ami... tu penses à : pas beaucoup de personnes, j'suis presque exclusive en amitié... seulement en amitié! ;-)
Gros porc... tu penses à : toute personne qui vide son assiette d'un souffle... ça me tue!
Microscopique... tu penses à : mon humble personne dans l'univers
Amour... tu penses à : de l'acharnement pas si thérapeutique que ça
Michael Youn... tu penses à : le néant absolu
Webcam... tu penses à : une bébelle qui, avouons-le, ne sert strictement à rien!
Bombe... tu penses à : Oklahoma City
Anneau... tu penses à : est-ce que je vous l'ai dit que je m'offre un superbe semi-éternité pour mes 30 ans?!
Étoile... tu penses à : l'éternité depuis laquelle j'en ai pas eu dans les yeux...
Animal... tu penses à : je ne me ferai probablement pas d'amis avec celle-là, mais maudit que ça sert à rien, à part que de se répandre en bave et en poils!
Bulle... tu penses à : l'acharnement avec lequel je m'évertuais à en faire, les étés où j'étais petite... pis que ça marchait jamais plus qu'il faut because le savon à vaisselle était vraiment trop cheap!
Ampoule... tu penses à : une paire de chaussures, que j'appellais affectueusement mes souliers de "drag queen"... le genre de truc qui vous greffe vos battements de coeur dans la plante des pieds! Vive les Hush Puppies maintenant!
Blogue... tu penses à : c'est vraiment trop addictive... mais une dépendance de plus ou de moins, mon ciel est perdu d'avance anyway!
Boîte... tu penses à : une superbe cabane qu'on s'était faite, ma soeur et moi, quand on était toute petite... une boîte de frigo et vous avez un château!
Internet... tu penses à : aux nombres d'heures que je tue grâce à ça... entre autre
Lit... tu penses à : un refuge
Couette... tu penses à : au toit du refuge...
Chaussette... tu penses à : un calvaire, quand l'automne arrive et qu'il faut recommencer à en porter!
Crayon... tu penses à : un dada que j'avais quand j'étais sur les bancs d'école
Tête... tu penses à : ce qui me fait assurément craquer... une tête qui ne sert pas juste de parure!
Rien... tu penses à : des vacances... oui... des vacances... encore 3 mois à patienter!
Sport... tu penses à : mon calvaire quand j'étais sur les bancs d'école... jusqu'à ce que je découvre le lancer du javelot, seule discipline où j'ai excellé
Cégep-Université... tu penses à : Jonquière pis les soirées avec ma gang des résidences
Pompier... tu penses à : François, (ex)pompier à la Harley!
30 avril 2007
22 avril 2007
Un peu plus de moi...
Pigé ici... Découverte dudit blogue grâce à elle.
***
Un livre : Fanfan, d'Alexandre Jardin... pour l'absolu
Une couleur : le bleu, dans toutes ses déclinaisons
Un animal : des poissons tropicaux dans un aquarium
Un point faible : la nuque
Un point fort : mon sens critique
Un siècle : le 20e... pour ses innovations et le temps qu'on prenait juste pour vivre
Une voiture : Versa, de Nissan
Une boisson : Sangria
Un objet : Une bibliothèque pleine à craquer
Un pays : Italie
Une pierre précieuse : le diamant
Un bijou : le jonc semi-éternité qui ornera ma main droite dans quelques semaines...
Un grigri : deux petits cailloux blancs
Un acteur : Luc Picard
Une actrice : Audrey Tautou
Une chanson : Comme tu me l'as demandé, de Laurence Jalbert
Un film : American History X
Un dessin animé : Bob et Margaret
Un prénom masculin : Hugo
Un prénom féminin : Axelle
Un bonbon : les poissons bleus en jujube
Un aliment : La salade orientale du Cosmos
Un chocolat : noir, 75% cacao, incrusté d'amandes grillées de Chez Erico
Un tatouage : rien qui m'inspire...
Une arme : Les mots, parfois...
Un oiseau : le fou à pieds bleus
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Un livre : Fanfan, d'Alexandre Jardin... pour l'absolu
Une couleur : le bleu, dans toutes ses déclinaisons
Un animal : des poissons tropicaux dans un aquarium
Un point faible : la nuque
Un point fort : mon sens critique
Un siècle : le 20e... pour ses innovations et le temps qu'on prenait juste pour vivre
Une voiture : Versa, de Nissan
Une boisson : Sangria
Un objet : Une bibliothèque pleine à craquer
Un pays : Italie
Une pierre précieuse : le diamant
Un bijou : le jonc semi-éternité qui ornera ma main droite dans quelques semaines...
Un grigri : deux petits cailloux blancs
Un acteur : Luc Picard
Une actrice : Audrey Tautou
Une chanson : Comme tu me l'as demandé, de Laurence Jalbert
Un film : American History X
Un dessin animé : Bob et Margaret
Un prénom masculin : Hugo
Un prénom féminin : Axelle
Un bonbon : les poissons bleus en jujube
Un aliment : La salade orientale du Cosmos
Un chocolat : noir, 75% cacao, incrusté d'amandes grillées de Chez Erico
Un tatouage : rien qui m'inspire...
Une arme : Les mots, parfois...
Un oiseau : le fou à pieds bleus
20 avril 2007
Et voilà!!!
J'ai une amie qui m'a envoyé ceci, me disant que ça lui avait fait pensé à moi...!
***
Il était une fois une fille qui demanda à un garçon s'il voulait se marier avec elle. Le garçon dit : "Non".
Et la jeune fille vécut toujours heureuse, sans laver, ni cuisiner, ni repasser pour personne, en sortant avec ses amies, en baisant celui qu'elle voulait, en travaillant et en dépensant son argent comme elle le voulait.
FIN.
Le problème, c'est que dès notre plus jeune âge, on ne nous le racontait pas comme ça. On nous a bien foutues dans la merde avec ce putain de prince charmant!!!
***
Right on!!!
***
Il était une fois une fille qui demanda à un garçon s'il voulait se marier avec elle. Le garçon dit : "Non".
Et la jeune fille vécut toujours heureuse, sans laver, ni cuisiner, ni repasser pour personne, en sortant avec ses amies, en baisant celui qu'elle voulait, en travaillant et en dépensant son argent comme elle le voulait.
FIN.
Le problème, c'est que dès notre plus jeune âge, on ne nous le racontait pas comme ça. On nous a bien foutues dans la merde avec ce putain de prince charmant!!!
***
Right on!!!
16 avril 2007
Presque...
"Tu travailles toujours autant..."
Je tournais le dos à la porte de mon bureau quand j'ai entendu cette phrase, tes mots, ta voix. J'avais une main sur ma nuque, affairée à détendre les muscles de mon cou, histoire de pouvoir poursuivre le travail encore quelques heures.
J'ai eu peine à tourner les talons. J'avais très bien reconnu le son de ta voix, avant même de t'apercevoir dans l'embrasure de ma porte de bureau. Tu m'as fait un grand sourire et tu t'es installé dans le fauteuil libre. Mes yeux devaient laisser transparaître ma surprise. Et le plaisir de te revoir aussi. Mais j'étais plus déstabilisée que foncièrement heureuse. L'an passé, quand tu avais quitté les lieux, je ne croyais jamais te revoir. Et ça m'avait fait soupiré d'aise à l'époque.
"Comment tu vas?", que tu m'as demandé pour amorcer la discussion.
On a commencé à se perdre dans les banalités d'usage. Je prenais presque plaisir à te retrouver. Puis, la question qui me brûlait les lèvres a fini par tomber...
"Qu'est-ce que tu fais dans le coin?"
Et c'est là que t'as commencé à m'expliquer. Que la compagnie pour laquelle tu travailles avait décroché le contrat de la phase 2 des travaux. Que c'était logique puisque c'est vous qui aviez fait la première partie, l'été dernier. Que tu étais content de revenir dans le coin, parce que c'était un contrat à long terme et parce que...
Tu n'as pas terminé ta phrase. Et ton regard a quitté le mien pour gagner le sol.
"Est-ce que t'as finalement quelqu'un dans ta vie?", que tu m'as demandé, même pas innocement.
Et puis, c'est là que j'ai commencé à t'expliquer. Que non, j'avais personne dans ma vie parce que j'aurais plus jamais personne dans ma vie, au sens où toi tu l'entendais. Que c'était un choix qui me convenait parfaitement. Et que peu importe ce que les gens me disaient, y'aurait rien pour me faire changer d'idée...
"J'ai les six prochains mois pour m'appliquer à te faire changer d'idée... Bon, faut que j'y aille! À la prochaine!"
Merde!
Je n'ai même pas eu le temps de le dissuader.
Merde!
Six mois?!
Merde!
Je tournais le dos à la porte de mon bureau quand j'ai entendu cette phrase, tes mots, ta voix. J'avais une main sur ma nuque, affairée à détendre les muscles de mon cou, histoire de pouvoir poursuivre le travail encore quelques heures.
J'ai eu peine à tourner les talons. J'avais très bien reconnu le son de ta voix, avant même de t'apercevoir dans l'embrasure de ma porte de bureau. Tu m'as fait un grand sourire et tu t'es installé dans le fauteuil libre. Mes yeux devaient laisser transparaître ma surprise. Et le plaisir de te revoir aussi. Mais j'étais plus déstabilisée que foncièrement heureuse. L'an passé, quand tu avais quitté les lieux, je ne croyais jamais te revoir. Et ça m'avait fait soupiré d'aise à l'époque.
"Comment tu vas?", que tu m'as demandé pour amorcer la discussion.
On a commencé à se perdre dans les banalités d'usage. Je prenais presque plaisir à te retrouver. Puis, la question qui me brûlait les lèvres a fini par tomber...
"Qu'est-ce que tu fais dans le coin?"
Et c'est là que t'as commencé à m'expliquer. Que la compagnie pour laquelle tu travailles avait décroché le contrat de la phase 2 des travaux. Que c'était logique puisque c'est vous qui aviez fait la première partie, l'été dernier. Que tu étais content de revenir dans le coin, parce que c'était un contrat à long terme et parce que...
Tu n'as pas terminé ta phrase. Et ton regard a quitté le mien pour gagner le sol.
"Est-ce que t'as finalement quelqu'un dans ta vie?", que tu m'as demandé, même pas innocement.
Et puis, c'est là que j'ai commencé à t'expliquer. Que non, j'avais personne dans ma vie parce que j'aurais plus jamais personne dans ma vie, au sens où toi tu l'entendais. Que c'était un choix qui me convenait parfaitement. Et que peu importe ce que les gens me disaient, y'aurait rien pour me faire changer d'idée...
"J'ai les six prochains mois pour m'appliquer à te faire changer d'idée... Bon, faut que j'y aille! À la prochaine!"
Merde!
Je n'ai même pas eu le temps de le dissuader.
Merde!
Six mois?!
Merde!
07 avril 2007
Montée de lait sévère!
Ça y est... c'est maintenant officiel. J'ai eu la confirmation finale ce matin.
Je suis une vieille fille aigrie, asociale, avec de vraies manies de fille seule.
J'adore le silence. Ou la musique. Mais pas la télé comme bruit de fond. Si j'ouvre le téléviseur, c'est pour écouter quelque chose en particulier. Je ne m'évacherai jamais devant le téléviseur en me demandant si y'a quelque chose de bon à regarder, en zappant... Et surtout, j'ai besoin de ce silence le matin. Impératif.
Le bulletin de nouvelles, c'est toujours Bernard qui me le donne. Ou Céline. Mais jamais Pierre ni Sophie. Parce qu'eux, c'est pas des nouvelles qu'ils nous livrent. C'est le Journal de Mourial... et ça m'intéresse franchement pas!
Ça se peut très bien qu'un repas ne comporte pas les 4 groupes alimentaires, chez-moi. Et y'a personne pour s'en offusquer... Et puis, je me fiche pas mal de savoir combien y'a de calories dans mon assiette. Entre vous et moi, je regarde un pied de céleri et je trouve moyen de prendre une livre ou deux, so...
Je ronfle. Haut et fort. Et y'a personne pour me le faire savoir, au petit matin. Tout comme y'a personne qui me fait de la compétition dans le domaine. Le ronflement en stéréo, c'est nul. Et forcément, s'en trouve toujours un qui dort pas pour écouter l'autre renacler... Je préfère nettement offrir le concert que d'y assister. Point.
Je le sais que ma toilette est capricieuse sur la "flush". J'pense que mon entourage commence à le savoir aussi. Sauf mes parents... Ils se pendent après la chaîne comme un De Lorimier exécuté. Et tempêtent de voir que l'eau coule en continu par la suite. Et moi, je tempête de devoir me lever pour la faire arrêter de couler, parce que visiblement, ils n'y arrivent pas ni l'un ni l'autre. Et ça m'irrite de voir qu'ils ne se "domptent" pas.
Les serviettes sur la pole, dans ma salle de bain, ce ne sont pas des serviettes à mains. Ce sont mes serviettes de bain. Donc, chez-moi, on se lave les mains dans la cuisine. Et vous trouverez la serviette à main sur la poignée du fourneau. Aussi simple que ça, merci!
Le rideau de douche, vous le verrez toujours tiré. C'est pas parce que ça fait beau. Et c'est pas pour cacher un fond de baignoire sans émail. C'est juste que la logique veut que le dit rideau sèchera beaucoup plus rapidement (et plus uniformément) s'il est tiré. Donc, quand on sort de la douche, on re-tire le rideau.
Quand on quitte une pièce, on ferme la lumière...
La vaisselle sale, on la pile à la gauche de l'évier, pas à droite...
Et c'est moi qui décide de quand je ferai la vaisselle, tant que je serai la seule à payer le loyer...
Ça se peut que mon stock dans le frigo ne soit pas placé stratégiquement... j'ai d'autres priorités dans la vie...
Que on s'installe sur le futon ou à la table, on prend un sous-verre pour sa consommation... c'est non-négociable tout simplement parce que j'aurais pas les moyens d'aller faire re-sabler ma table ou les bras de mon futon s'ils se cernaient...
J'aime ça recevoir des gens... mais quand je le décide. Et finalement... non, je trouve pas ça sweet d'avoir des enfants dans l'appartement. J'ai-tu le droit, calvaire, sans passer pour une sans-coeur finie?!
Pourquoi on a le droit de détester les américains, mais qu'on a pas le droit de pas tripper sur les enfants?!
Je suis une vieille fille aigrie, asociale, avec de vraies manies de fille seule.
J'adore le silence. Ou la musique. Mais pas la télé comme bruit de fond. Si j'ouvre le téléviseur, c'est pour écouter quelque chose en particulier. Je ne m'évacherai jamais devant le téléviseur en me demandant si y'a quelque chose de bon à regarder, en zappant... Et surtout, j'ai besoin de ce silence le matin. Impératif.
Le bulletin de nouvelles, c'est toujours Bernard qui me le donne. Ou Céline. Mais jamais Pierre ni Sophie. Parce qu'eux, c'est pas des nouvelles qu'ils nous livrent. C'est le Journal de Mourial... et ça m'intéresse franchement pas!
Ça se peut très bien qu'un repas ne comporte pas les 4 groupes alimentaires, chez-moi. Et y'a personne pour s'en offusquer... Et puis, je me fiche pas mal de savoir combien y'a de calories dans mon assiette. Entre vous et moi, je regarde un pied de céleri et je trouve moyen de prendre une livre ou deux, so...
Je ronfle. Haut et fort. Et y'a personne pour me le faire savoir, au petit matin. Tout comme y'a personne qui me fait de la compétition dans le domaine. Le ronflement en stéréo, c'est nul. Et forcément, s'en trouve toujours un qui dort pas pour écouter l'autre renacler... Je préfère nettement offrir le concert que d'y assister. Point.
Je le sais que ma toilette est capricieuse sur la "flush". J'pense que mon entourage commence à le savoir aussi. Sauf mes parents... Ils se pendent après la chaîne comme un De Lorimier exécuté. Et tempêtent de voir que l'eau coule en continu par la suite. Et moi, je tempête de devoir me lever pour la faire arrêter de couler, parce que visiblement, ils n'y arrivent pas ni l'un ni l'autre. Et ça m'irrite de voir qu'ils ne se "domptent" pas.
Les serviettes sur la pole, dans ma salle de bain, ce ne sont pas des serviettes à mains. Ce sont mes serviettes de bain. Donc, chez-moi, on se lave les mains dans la cuisine. Et vous trouverez la serviette à main sur la poignée du fourneau. Aussi simple que ça, merci!
Le rideau de douche, vous le verrez toujours tiré. C'est pas parce que ça fait beau. Et c'est pas pour cacher un fond de baignoire sans émail. C'est juste que la logique veut que le dit rideau sèchera beaucoup plus rapidement (et plus uniformément) s'il est tiré. Donc, quand on sort de la douche, on re-tire le rideau.
Quand on quitte une pièce, on ferme la lumière...
La vaisselle sale, on la pile à la gauche de l'évier, pas à droite...
Et c'est moi qui décide de quand je ferai la vaisselle, tant que je serai la seule à payer le loyer...
Ça se peut que mon stock dans le frigo ne soit pas placé stratégiquement... j'ai d'autres priorités dans la vie...
Que on s'installe sur le futon ou à la table, on prend un sous-verre pour sa consommation... c'est non-négociable tout simplement parce que j'aurais pas les moyens d'aller faire re-sabler ma table ou les bras de mon futon s'ils se cernaient...
J'aime ça recevoir des gens... mais quand je le décide. Et finalement... non, je trouve pas ça sweet d'avoir des enfants dans l'appartement. J'ai-tu le droit, calvaire, sans passer pour une sans-coeur finie?!
Pourquoi on a le droit de détester les américains, mais qu'on a pas le droit de pas tripper sur les enfants?!
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